Magazine | Études
Les chants des oiseaux des villes, le cerveau des colibris et le virus H5N1
Introduction
Les ornithologues du monde entier comprennent chaque jour un peu mieux le monde fascinant des oiseaux. Nous vous proposons dans cet article trois synthèses d’études intéressantes : les oiseaux vivant en ville adaptent leurs chants au bruit sonore causé par la circulation automobile, une partie du cerveau des colibris serait responsable de leur capacité à voler sur place, et certaines espèces seraient plus susceptibles que d’autres de contracter les formes virulentes H5N1 du virus de la grippe aviaire et de les transmettre.
Nous remercions Joël Bruezière, responsable du site web Eyesonsky.com, pour nous avoir aidé à illustrer cet article.
Abstract
We present you there three results of birding researches :
– by studying the songs of a bird species that has succeeded in adapting to urban life, researchers have gained insight into the kinds of environmental pressures that influence where particular songbirds thrive, and the specific attributes of city birds that allow them to adjust to noisy urban environments. The findings, reported by Hans Slabbekoorn and Ardie den Boer-Visser of Leiden University, appeared in the December 5th issue of Current Biology.
– University of Alberta researchers have pinpointed a section in the tiny hummingbird’s brain that may be responsible for its unique ability to stay stationary mid-air and hover.
– University of Georgia researchers have found that the common wood duck and laughing gull are very susceptible to highly pathogenic H5N1 avian influenza viruses and have the potential to transmit them.
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