Brèves
Le geai utilise aussi des indices sonores pour piller les réserves des autres
En automne, le geai cache des graines, mais il n'hésite pas à voler celles des autres et il utilise le maximum d’indices pour le faire.
31/10/2014 |
Non soumis au comité de lecture
Geai des chênes (Garrulus glandarus) tenant un petit pois dans son bec.
Photographie : Jean-Paul Leau
Vous devez vous connecter pour consulter cet article
Se connecter
Poursuivez la lecture de cet article, en vous abonnant dès maintenant !
Découvrez les Archives d’Ornithomedia.com
Pour seulement 10,00 €TTC/an (ou 6,00 € les 6 mois)
Profitez de plusieurs centaines d’articles en accès illimité et sans aucun engagement.
Compléments
À lire aussi sur Ornithomedia.com
- Une mémoire de Cassenoix moucheté
- Le Pouillot de Pallas : une grande mémoire pour un petit cerveau
- Le cerveau et l’intelligence des oiseaux
Dans la galerie d’Ornithomedia.com
Geai des chênes (Garrulus glandarius)
Sources
- Edward W. Legg et Nicola S. Clayton (2014). Eurasian jays (Garrulus glandarius) conceal caches from onlookers. Animal Cognition. Volume 17, numéro 5, pages 1223-1226. http://link.springer.com/article/10.1007/s10071-014-0743-2
- Rachael C. Shaw etNicola S. Clayton (2014). Pilfering Eurasian jays use visual and acoustic information to locate caches. Animal Cognition. Volume 17, numéro 6, pages 1281-1288. http://link.springer.com/article/10.1007/s10071-014-0763-y
- Rachael C. Shaw et Nicola S. Clayton (2012). Careful cachers and prying pilferers: Eurasian jays (Garrulus glandarius) limit auditory information available to competitors. Proceedings of the Royal Society. Volume 280, numéro 1752. http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/280/1752/20122238.full
Aucun commentaire sur ce sujet
Participer à la discussion !